"C" est une limite physique considérée à ce jour comme absolue dans le cadre des principes de la Relativité restreinte. Basiquement, la matière baryonique (protons, neutrons, électrons) n'est pas capable de se propager plus vite que la lumière.
La plupart des théories tentant d'expliquer la réalité d'un voyage spatial supra-luminique reposent sur la possibilité de conférer à la matière baryonique les propriétés de propagation de certaines particules non-baryoniques (Tachyons, Neutrinos, Matière Noire) très largement théoriques ou suffisamment méconnues pour qu'il n'y ait pas de contradiction physique) SANS que cela n'affecte leur cohésion en fin de transit.
Les auteurs les plus "Hard Science" vont même pour certains jusqu'à s'entourer de notions tirées de l'observation des phénomènes ondulatoires et, dans les faits, à parler de conférer à la vitesse de phase de certaines perturbations ondulatoires la qualité de passerelle de fait dans le procédé global de leur FTL. Ce revient à donner à l'outil-catalyseur mathématique une matérialité physique qu'il n'a pas (exemple : les nombres complexes).
Gardez bien à l'esprit, svp, qu'aucune théorie sur le voyage spatial supra-luminique ne repose sur quoi que ce soit de solide en regard de nos connaissances sur le comportement de la matière dans notre univers.
Je vais tâcher de vous exposer une théorie permettant de court-circuiter cette réalité physique. Et comme les autres, je vais me reposer sur des postulats NON-ETAYES scientifiquement à ce jour. Et pour tout dire, pour le milieu scientifique, les notions que je vais aborder maintenant tiendront de la blague de potache mal branlée, à un niveau ou à un autre.